La disparition des contrastes
L'affadissement total
La chute
Et l'envie de chuter là-bas où les trains passent...
Telle est ma vie ces temps-ci d'isolement
entre ces mêmes murs qui autrefois pourtant m'apparurent aussi beau que le marbre romain.
Mais vous savez comment c'est, comme on se lasse de tout
Et qu'il y a des gens écœurés par la mer et d'autres qui somnolent en face des montagnes. Vous savez ça, et des laideurs bien pires encore...
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